Ce décret constitue une atteinte sans précédent dans l’histoire judiciaire sur l’indépendance des juges Prud’homaux.
Cela se traduit principalement par :
Une diminution drastique de la durée de préparation des dossiers.
Le temps de rédaction des jugements qui ne tient pas compte de la complexité des dossiers présentés par les justiciables.
Le temps de rédaction fixé à 1 heure pour les ordonnances en référé.
L’insuffisance du temps alloué aux tâches administratives au Président et Vice-Président.
Des réponses positives doivent être apportées par les Ministère de la Justice et du Travail afin d’autoriser les Conseillers Prud’homaux à exercer leur mission dans des conditions normales d’indépendance.